| trois guides poétiques | |||||
| La transition de l’état passif de la sensation à l’état actif de la pensée et de la volonté n’a donc lieu que par un état intermédiaire de liberté esthétique. | |||||
Bouches débridées,
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L’émotion ne dit pas ‘je’. […] On est hors de soi. L’émotion n’est pas de l’ordre du moi, mais de l’événement. Il est très difficile de saisir un événement, mais je ne crois pas que cette saisie implique la première personne. Il faudrait plutot avoir recours, comme Maurice Blanchot, à la troisième personne, quand il dit qu’il y a plus d’intensité dans la proposition « il souffre » que dans « je souffre ». |
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Euripide, Les Bacchantes, Minuit, traduction de Jean et Mayotte Bollack, 2005, p.27 — Friedrich von Schiller, Lettres sur l’éducation esthétique de l’homme, 1795, Aubier, 1992, p.295 — Gilles Deleuze, Deux régimes de fous, « la peinture enflamme l’écriture», Minuit, 2003, p.172. |
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